→ Spectacle présenté du 10 au 20 juillet, 1815 au Hivernales - CDCN d'Avignon.

Bruno Pradet fait à nouveau le pari d’une pièce de groupe qui fait écho aux bruits du monde. Dans cette pièce chorale les 8 interprètes, aux techniques diverses, déploient des danses collectives puissamment orchestrées par une bande-son où beat box, voix lyrique et vielle à roue font dialoguer musique occitane et musique actuelle. Une pièce hypnotique.

→ Spectacle accueilli au TMS en avril 2024.

→ Spectacle présenté du 16 au 24 juillet à Salle des Colloques - Cloître Saint-Louis.

Ce spectacle-performance immerge le public dans un salon afghan où il découvre une jeune femme coupée du monde extérieur, dont l’existence oscille entre désespoir et résistance. Le public est invité à percevoir les frontières de l’enfermement.
Un projet immersif qui transforme le témoignage personnel en un puissant appel à la réflexion collective.

→ Spectacle présenté du 18 au 21 juillet, 23h à La Manufacture.

Cette performance interroge la transformation des anonymes en icônes par l’industrie musicale à travers une mise en scène alliant vidéos, captations en direct, jeu d’acteur et musique live. S’inspirant de sa création de 2010, Cojo conçoit un puzzle scénique où réalité et illusion se rencontrent, guidé par un entretien filmé en caméra cachée avec son psychanalyste.

→ Le TMS accueille René Cojo avec While My Guitar Gently Weeps le 11 décembre 2025.

→ Spectacle présenté du 5 au 15 juillet, 14h25 à La Scierie-Tiers Lieu.

Le chorégraphe développe deux récits en duo puis en trio autour de la question de l’identité et de l’altérité. Sous forme de jeu de rôle, en convoquant des mondes futuristes dont les adolescent·e·s sont familier·ères, il ouvre un espace où chacun peut se reconnaitre, se projeter et interroger sur son propre rapport au corps et aux autres.

→ Spectacle accueilli au TMS en mai 2025.

→ Spectacle présenté du 5 au 24 juillet, 15h45, au 11.Avignon.

Delphine Horvilleur, autrice et rabbine, manipule l’humour juif avec un raffinement rageur. Elle invente un personnage Abraham Ajar, fils imaginaire d’Émile Ajar alias Romain Gary et interroge la notion d’identité et tous les pièges qui en découlent.
Johanna Nizard, au plateau, restitue brillamment l’exploration entre essai et fiction de l'autrice, avec intensité et lucidité. Un texte irrévérencieux, burlesque, engagé.

→ Spectacle accueilli au TMS en janvier 2025.

→ Spectacle présenté du 8 au 23 juillet, 10h, à Le Totem (salle Jaune Citron).

Noé est une pièce Jeune Public en écho à Baal.
Incarné par une petite figurine et manipulé par une danseuse acrobate, Noé donne à voir aux enfants un spectacle poétique et ludique qui explore les fondamentaux de l’égalité filles/garçons par le mouvement, tout en proposant aux adultes une réflexion sur la recomposition de nos modèles éducatifs.

→ Le TMS a accueilli Baal en novembre 2023.

→ Spectacle présenté du 5 au 22 juillet, 16h25 à La Manufacture.

Nicolas Heredia aborde un problème largement répandu : le manque de temps.
Pour en finir avec les journées trop chargées, La Fondation du Rien propose un alléchant catalogue d’activités, auxquelles on peut s’inscrire sans crainte puisqu’elles seront systématiquement annulées. Une solution diablement efficace pour pouvoir enfin jouir d’une plage de temps libre.

→ Le TMS a accueilli Nicolas Heredia avec L'Origine du Monde proposé en tournée sur le bassin de Thau en janvier 2025.

→ Spectacle présenté du 8 au 23 juillet, 11h à Le Totem.

Le spectacle est conçu à partir d’un vaste travail de collectage de chansons et comptines sur le territoire montpelliérain et le bassin de Thau.
Les voix des 3 musiciennes se mêlent à celles de chanteur·euse·s. Le violoncelle, la flûte en sol et la kalimba accompagnent et construisent ce voyage sensible, au creux de l’oreille des tout-petit·e·s et des tout-à-fait-grand·e·s.

→ Spectacle accueilli en avril 2024, en tournée sur le bassin de Thau.

→ Spectacle présenté du 8 au 19 juillet, 14h25 à La Scierie (salle du Hangar).

Une conférence-dansée qui retrace l'histoire des danses en lien avec les luttes sociales à travers le monde.
À partir du flamenco en passant par le pantsula d’Afrique du Sud, le hip-hop, les danses celtiques, le voguing et le krump, Bouziane Bouteldja et ses danseur·euse·s font revivre l’histoire de ces danses, d’une manière résolument vivante, montrant comment chaque mouvement incarne une mémoire collective.

→ Spectacle présenté du 8 au 23 juillet, 10h45 à Le Totem.

Voix mêlées, souffles d’énergie, délice d’être ensemble… Qui, que, quoi ? célèbre la différence, danse la rencontre et chante le plaisir de vivre ensemble.
Trois danseuses et une chanteuse parlent d’elles, de nous, de notre société et laissent place à l’expression de leurs dissemblances pour en faire une force, un atout pour accepter et inclure.
Une vivifiante chorégraphie liant les pas de l’une dans ceux de l’autre pour refléter la beauté des différences.

Auteur, metteur en scène et performer, Fabrice Melquiot est artiste associé au TMS depuis 2021.

Ses textes sont présentés pour cette édition du Festival d'Avignon avec :

● Les Séparables mis en scène par Cie Chantier Public du 8 au 23 juillet, 11h30 à Le Totem

● Albatros mis en scène par Le Théâtre Clandestin du 9 au 12 juillet, 15h, 16h et 17h à La Manufacture

● Le Bizarre mis en scène par le Cie Chat Borgne du 5 au 26 juillet, 18h15 à Présence Pasteur

Marine Mane est autrice, metteuse en scène, performeuse et fonde la Cie In vitro. Elle est artiste associée au TMS depuis 2025.

Elle présente en Avignon le spectacle La Neige est blanche du 5 au 26 juillet, 11h à Présence Pasteur.

→ Le TMS accueille le spectacle You’re my sister, sœur, le 19 mai 2026, 20h dans le cadre du temps fort Alors on danse !.

Un homme entre dans sa propre tête pour se livrer à l’examen de ses liens avec la mafia : un arrière-grand-père inconnu, un village, un souvenir d’enfance. Mêlant l’enquête lexicologique et policière, le théâtre documentaire et le récit autobiographique, on remonte, de fragment en fragment et non sans humour, le fil du temps : celui qui parle, c’est à la fois François Nadin et Fabrice Melquiot – deux fils d’émigrants italiens - et toujours quelqu’un d’autre.

Aref va quitter Bahia. Il vient de le lui dire. En rejetant Bahia, Aref rejette tout : cette ville où il est réfugié depuis un an, ces fringues qui ne sont pas les siennes et ce pays qui n’est pas son pays. Pour autant, il ne voudrait pas rentrer en Afghanistan. Elle dit non. Et quand Bahia dit non, c’est non. Non, nous n’avons pas fini de nous aimer. Face à face sous tension, écrit en alexandrins et en décasyllabes pour deux voix qui se déchirent pour mieux se reconnaître.

Gush is Great nous invite à vivre une expérience sensorielle inédite portée par 5 danseur·euse·s-performeur·euse·s d’une intensité rare — un collectif puissant, soudé, représentant une nouvelle génération engagée sur scène.
Dans un équilibre suspendu, une ligne de front avance inexorablement, créant alors un espace dystopique. Absurdes ou anodins, des objets s’échappent, comme des vestiges ou traces de notre passage sur terre.
C’est un spectacle à la fois viscéral et profondément actuel — une ode à la rébellion douce, à la beauté rugueuse, à notre besoin vital de réinvention.

Qu’est-ce que grandir ? Quel chemin devons-nous prendre pour exister ? Quelle place prend-on au monde ? Est-ce que devenir adulte, ce n’est pas plutôt une quête de soi ?
Trois narrateurs et autant de regards portés sur les événements traversés par Bao Bras interrogent ce moment délicat où s’entrechoquent choix de vie et construction de soi.
Dans un univers qui oscille entre conte et réalité, onirisme, apprentissage et philosophie, Élise Douyère éclaire les trajectoires personnelles des jeunes spectateurs.