Des "Filles-Pétroles" qu’il ne faut pas laisser s’évaporer
La chorégraphe et danseuse ivoirienne est revenue à son quartier d'origine à Abidjan. Elle est allée chercher ses interprètes surnommées La Chinoise et Gros Camion.

Le duo, véritable dialogue entre deux générations et deux parcours, évoque son rapport à Abidjan, à leurs rêves et à la déconstruction, notamment par la danse, d'une féminité assignée.
Avec ces « Filles-Pétroles », Nadia Beugré propose un puissant portrait d’une jeunesse en feu.

Leur danse sonne comme une urgence pour exister, survivre.