Spectacle élu parmi les coups de cœur de la rédaction de la presse helvétique.

« La Truelle, solo brillant écrit par Fabrice Melquiot, joué par François Nadin, a bluffé l’audience par sa capacité à dresser un portrait détaillé de l’organisation criminelle qui, toujours aujourd’hui, conditionne le destin de l’Italie. (…) Dans le rôle du narrateur acteur, F. Nadin s’est illustré en enfilant aussi bien les habits d'une aïeule toute de noir vêtue, que ceux des maffieux, costard trois pièces et mocassins vernis. On passe du rire complice à l’effroi devant l’injustice ».
Le Temps