Esmatullah Alizadah raconte le peuple Hazara, minorité ethnique d’Afghanistan qu’il a dû quitter à l’arrivée des talibans.
Accompagné de sa dambura, il revisite le répertoire traditionnel tadjik, ouzbèk et afghan.
Nicolas Beck, à la direction artistique, explore avec lui une nouvelle manière de transmettre ce répertoire avec des influences méditerranéennes et occidentales. La dambura et l’harmonium se confrontent à la guitare électrique et à la musique électronique.
Cette fusion musicale où tradition et modernité s’entrelacent pour créer un répertoire riche et novateur.