Qui ne s’est jamais laissé entraîner par ce tube mondial qu’est la Lambada de Kaoma ?
En 1989, au moment où le Mur de Berlin s’effondre, le titre Lambada est un succès planétaire qui réchauffe nos nuits. Et si ces 2 événements, l’un politique, l’autre musical, étaient liés par un même esprit de changement ?

Aux sons latinos, 2 trios de danseur·euse·s s’affrontent, se rapprochent, se tournent autour pour un spectacle populaire.

Une machine à susciter l’allégresse et la chaleur, sans oublier quelques souvenirs torrides.

À l'issue, Soirée Platines au Foyer du TMS.

Jean-Claude Gallotta fait danser le cinéma.
Le chorégraphe évoque ici les liens forts qu’il a noués avec le cinéma et les cinéastes au fil de 45 ans d’un parcours ouvert à tous les arts.
Il rend hommage aux œuvres de Federico Fellini, Anne-Marie Miéville, Leos Carax, Jean-Luc Godard…

Il déploie douze mouvements chorégraphiques en des variations jouant avec le texte : ici, la lumière vient éclairer un duo passionné, là, un groupe éclate de présences avec ses élans fluides et précis.

Un ballet fugace et aérien, charnel et burlesque, dans les plis de la mémoire du chorégraphe cinéphile.

Ambiance douce-amère et comédie de mœurs pour une jeunesse qui se cherche.
Servis par de jeunes comédien·e·s aussi talentueux que généreux·se·s, le texte tricoté par Guillaume Vincent imagine un savoureux marivaudage contemporain à l’ombre de la Tour de Constance d’Aigues-Mortes.

Nous partons à la rencontre de six personnages travaillant dans un hôtel de luxe. Entre rêves d’ailleurs, promotions et histoires d’amour, nous les suivons pendant une année dans leur quête d’un avenir meilleur.

Un spectacle à la fois sensible et électrique pour un ballet sentimental jubilatoire.

Une chronique sociale et politique, à la fois sensible et drôle.
Près de 10 ans après sa création, Nasser Djemaï a voulu retrouver ses vertiges, pour en donner une version enrichie d’intuitions nouvelles, qui ouvrent à de nouveaux imaginaires.

La pièce aborde avec délicatesse mais sans faux-fuyants toutes les questions qui taraudent certaines familles : l’identité, la religion, la place de la
femme, les traditions. Sans éluder les tensions entre les personnages, Nasser Djemaï met beaucoup de tendresse et d’amour dans leurs relations.

Un grand moment de théâtre qui touche droit au cœur !

Un conte poétique et visuel pour tous les âges !
Dans un village du sud de l’Italie, Madame Bras désespère de perdre sans cesse dans des trous de souris son fils Bao, tout petit, pas plus haut qu’une feuille. Un jour, le plus incroyable se produit : Bao devient gigantesque. Se voyant devenu trop grand, le voilà forcé de prendre la route pour trouver une maison à sa taille.

Avec cette fable initiatique, Élise Douyère dresse en creux un portrait de l’adolescence et nous interroge sur le fait de grandir et de trouver sa place au monde.

Petites musiques de balles et bâtons dansants.
Les dix jongleuses et jongleurs se dévoilent sur scène dans un ballet hypnotique, mis en musique par le Quatuor Debussy.

Sensible et délicat, ce spectacle tout en suspensions, élans et équilibres se déploie sur les notes de Henry Purcell et de Marc Mellits dans des accords parfaits entre musique et jonglage.

Une osmose parfaite dans laquelle les rêves et les espoirs de chacun célèbrent l’art du collectif.

Concert du Nouvel An.
Pour fêter le Nouvel An avec éclat, le Théâtre Molière invite l’Orchestre National de France et ses quatre-vingts musicien·ne·s.

Une soirée exceptionnelle qui se met à l’heure espagnole avec les célébrissimes airs de Carmen, le Capriccio Espagnol de Rimski Korsakov inspiré du folklore ibérique et le Concerto d’Aranjuez de Rodrigo sous les doigts du surdoué guitariste Thibaut Garcia.

Un voyage musical entre Moyen-Orient et Méditerranée.
Formé aux techniques traditionnelles de la musique afghane, Esmatullah Alizadah excelle à la dambura.

Associé à Nicolas Beck, joueur de tarhu et guitariste, Bastian Pfefferli, percussionniste et Benjamin Lévy à la musique électronique, cette rencontre offre un dialogue fécond entre les cultures et une musique sublime, à nulle autre pareille.

Une fusion musicale où tradition et modernité s’entrelacent pour créer un répertoire riche et novateur.

Aux vents marins !
Ce spectacle s’inspire des poèmes et des contes qui chantent la Kabylie des pêcheurs et des marins imaginaires inventés par Sidi Bémol. .

Pour ce concert en ouverture d’Escale à Sète 2026, les ports, les criques, les falaises, la mer et les plages de Kabylie deviennent un théâtre étonnant, animé par les vents, les vagues et les légendes, peuplé par des personnages pittoresques et attachants.

André Minvielle, chanteur, batteur, scatteur, rime-ailleurs, en invité de marque, apporte sa gouaille occitane, son accent et sa tôle musicale pour improviser en toute complicité.

La simplicité touchante de Babx.
Il a une voix reconnaissable entre toutes : 8 ans après Ascensions, Babx est de retour avec un septième album, Amour colosse, un chant d’amour et de protection pour sa fille de six ans, mais aussi un voyage entre féérie, rêve et inquiétude. Face à un monde en furie, il choisit le beau et l’extase.

Avec sa voix grave, ses textes denses et ses orchestrations en clair-obscur, cet artiste inclassable mêle rock, électro et influences littéraires. Et il prolonge le plaisir en invitant quelques ami·e·s au Théâtre Molière.

Un colossal amour en perspective !