Wonderland, ou le pays des merveilles. Alice y tombe sans fin, y grandit démesurément, y rétrécit à outrance, y perd le temps, la logique et le sens, mais y trouve l’émancipation. Ce projet du chorégraphe Sylvain Huc s’affirme comme une traversée sensible et non une illustration littérale du texte de Lewis Carroll.
Sur scène, une boîte blanche fait place à l’imaginaire de chacun, invité à s’approprier l’œuvre et ses contradictions. En dialogue avec la danse, lumières et sons habitent cet espace étonnant pour une traversée abstraite et émerveillée du monde.