Il ne s’agit pas de faire revivre Marx. L’acteur « celui qui parle » dit les mots de Marx, parle Marx. La langue est puissante, parfois lyrique, brillante toujours. Le ton est vif, direct, tantôt c’est une manière de dialogue, tantôt une interpellation. Une langue toujours animée par un souffle, un mouvement, que Luc Sabot, avec toute son humanité, fait passer en toute simplicité.