Le spectacle s’inspire de la vie du musicien originaire d’Afghanistan, Esmatullah Alizadah.

Il interprète ici le rôle d’Aref et signe la musique du spectacle où dialoguent dambura (luth traditionnel), harmonium et tablas.

Un face-à-face amoureux sous tension, écrit comme une joute oratoire et musicale, esquivant la parole d’exil pour habiter la langue d’accueil.